Un soir elle m'a appelé pour me dire que je lui manquais et qu'il fallait qu'on trouve une solution car elle ne pouvait pas se passer de moi. Durant des mois, nous nous sommes vus en cachette lorsque mon père était soit au travail ou en déplacement. Par contre elle m'a toujours bien fait comprendre que jamais elle ne quitterait mon père pour moi mais sexuellement elle ne s'était jamais aussi bien entendue avec quelqu'un. Elle avait le beurre et l'argent du beurre et moi cette situation me plaisait. Il y a un mois, j'ai enfin retrouvé cette fille que j'ai tant aimé (celle dont je vous ai parlé plus haut). Je l'aime et je veux être sérieux. J'en ai parlé à ma belle-mère qui a plutôt bien pris la chose en me disant « elle en a de la chance, elle va s'éclater avec toi dans tous les sens du terme ». On s'est bien sûr mis d'accord pour mettre fin à cette folle histoire et que ce soit un secret. Aujourd'hui c'est ma belle-mère et basta. Personne n'est et ne sera je l'espère jamais au courant.
Coincée entre lui et l'évier, je ne pouvais bouger, je ne savais plus ce qu'il m'arrivait; mon fils était en train de me caresser les seins, une situation que je n'aurais jamais imaginée même dans mes pires cauchemars. J'étais partagée entre arrêter cet acte tabou et celui de me laisser aller à faire quelque chose d'inavouable mais tellement excitant. C'est lui qui a, en quelque sorte, pris la décision pour moi lorsque sa main gauche a délaissé mon sein et est descendue, passant la barrière de l'élastique de mon jogging pour arriver entre mes cuisses. « Mais tu mouilles maman? » Sa déclaration a brisé définitivement mes dernières volontés, j'ai compris alors que je ne pouvais plus faire marche arrière et me suis donc laissée aller, telle une poupée de chiffon dans les bras de mon fils. Je basculais ma tête en arrière et pour la première fois, nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser torride, je sentais son sexe durcir contre mes fesses, notre baiser sembla durer une éternité, j'avais l'impression que le temps s'était arrêté, je me disais que si c'était un rêve, que jamais je ne me réveille et que si c'était la réalité, que jamais je ne m'endorme.
Je les observais encore un petit moment, plus par curiosité qu'autre chose, car je n'avais jamais pratiqué la sodomie. Je les laissais ensuite, retournant me coucher non sans avoir eu des pensées troublantes sur ce que je venais de voir. Le lendemain soir, pendant le repas, nous avons discuté de choses et d'autres, de nos journées respectives, de son avenir, des études qu'il veut faire et de ses intentions vis à vis d'Alexandra, et à ce propos je lui ai dit que j'avais entendu leurs ébats la nuit dernière;à cela, il rétorqua en disant avec un petit sourire que je ne les avais pas qu'entendu mais vu aussi. Cette remarque me fit rougir; il m'avoua qu'il avait fait exprès de laisser la porte entre ouverte connaissant mes insomnies et qu'il m'a vu les observer à travers le miroir de son armoire et que cela l'avait excité encore plus. « Tu n'as pas honte de me dire ça? » « Pas du tout, c'est la stricte vérité, et toi qu'en as-tu pensé? » Essayant de garder le contrôle de moi-même pour ne pas lui montrer que j'étais un peu gênée par la question.
). A ce jour ma mère n'a jamais refait sa vie car trop nostalgique sans doute de ce seul homme qu'elle a connu dans sa vie et pourtant ce n'est pas faute d'avoir tout fait avec ma petite soeur pour la recaser. J'en ai beaucoup voulu à mon père et j'ai choisi de rester vivre avec ma mère trop « parfaite » car au moins elle l'était. Durant de nombreuses années, nos rapports ont été très tendus. Il a tout fait pour que tout soit comme avant mais j'avais toujours en tête qu'il avait abandonné ma mère pour une autre. […] Les années passaient et je devenais un beau jeune homme. Chaque nouvelle femme que mon père nous présentait, ma sœur et moi, on se faisait un plaisir de les dégager en quelques jours ou quelques semaines au grand maximum. A la longue ma soeur s'est lassée mais moi c'était toujours un énorme plaisir. Je me suis d'ailleurs posé la question si ce n'est pas par jalousie car elles étaient plus belles les unes les autres et toujours plus jeunes. J'ai eu 27 ans, il y a quelques semaines et mon histoire la plus sérieuse et la plus douloureuse a duré 2 ans.