Page 4 sur 50 - Environ 500 essais Recueil de poème: "les contemplations" 3495 mots | 14 pages Dm: réaliser une anthologie poétique à partir de votre lecture des livres IV et V des Contemplations. Préface: Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon, en France, et mort à Paris le 23 mai 1885 à l'âge de 83 ans. Il était un grand poète, dramaturge et écrivain appartenant au genre du romantisme. Il est l'un des plus célèbres de la langue française. Il est connu dans le registre lyrique avec par exemple Les Contemplations (1856) ou encore Odes et ballades (1826). Mais c'est aussi junbox 1770 mots | 8 pages qui correspond à une seconde naissance poétique de Victor 1853 ont lieu les séances de tables tournantes chez Delphine de Girardin. Cette expérience permet au poète de se former une nouvelle religion, très précisément évoquée dans le poème des Contemplations intitulé « Ce que dit la bouche d'ombre ». Panthéisme et christianisme s'y mêlent pour former une pensée qui relève aussi bien de la religion que de la philosophie.
». Il est aussi exprimé par l'utilisation du champ lexical du désespoir avec des mots tels que « pleurai, désespoir, malheurs, affreux, horrible, terrible », par les interjections « Oh! », « Hélas! » et par l'hyperbole « souffert ma souffrance ». Victor Hugo exprime également sa souffrance à travers plusieurs champs lexicaux: celui de la souffrance, celui de l'horreur, celui de la révolte et du refus. Le champ lexical de la souffrance est exprimé par le verbe « souffrir », le verbe « éprouver », le verbe « pleurer » et un double complément insistant sur la profondeur du désespoir: « trois jours amenèrent ». Le champ lexical de l'horreur est exprimé par « terrible », « horrible », l'oxymore « affreux rêve ». A ce champ lexical, on peut ajouter l'impression violente produite par la précision crue du vers 6 qui suscite efficacement l'imagination du lecteur: « je voulais me briser le front sur le pavé ». Le champ lexical de la révolte et du… Comment Victor hugo 2365 mots | 10 pages Extrait du commentaire composé Pauca Meae est un court poème chargé en émotions.
@Alberte: le plus difficile est de pouvoir et vouloir accepter. Je pense que la traversée de ce deuil doit nous y conduire. Merci Dominique pour ce message. La notion de "devoir" lorsqu'elle recouvre celle d'une obligation morale, ne me sied guère. Dans ces quelques lignes extraites des "travailleurs de la mer", je l'entends en effet, plutôt du côté d'une destinée acceptée malgré la connaissance que la confrontation à la mort nous "inflige": " On regarde la mort, on regarde la vie, et l'on consent ". Et lorsque Victor Hugo poursuit: "Mais c'est un consentement qui saigne. ", il me semble trouver la trace de cette "fatalité intérieure" qu'il évoque dans son roman. J'avoue que je me retrouve dans ces lignes. C'est un consentement qui saigne... Oh combien! Un consentement qui n'en n'est pas un en fait; car pour consentir il faut pouvoir choisir. Et nous n'avons pas choisi de perdre l'être aimé que nous pleurons aujourd'hui. Tout au plus, parvenons-nous au fil du temps, à repousser un peu la révolte et la colère qui nous laissent pantelants, épuisés... Avec douleur et encore avec reproche au fond de moi je sais que j'étais consentante au départ de mon mari.