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J'ai toujours tout supporté et à un certain point ma vie a commencé à basculer. À la maison j'étais toujours de mauvaise humeur, et je sortais toujours plus souvent avec mes amies. Ensemble, nous nous sommes immergées dans la vie nocturne de Créteil. Ma meilleure amie est célibataire, et elle a toujours su où trouver beaucoup d'hommes. Au début je ne nourrissait aucun intérêt pour les autres hommes. Jusqu'à ce que je rencontre Julien. Julien est le rêve de toute femme, et tout le contraire de Jean. Il est d'origine Italienne, et très romantique. Quand je l'ai vu pour la première fois, debout près du bar, Je suis restée bouche bée. Il aime jouer au foot, et ça se voit. Il a des belles fesses et un corps musclé. J'étais perdue et désorientée en sa présence. Je ne voulais pas lui parler, mais j'ai finalement cédé à son charme. Un cocktail, puis deux, puis trois. Nous avons dansé toute la soirée. Le jour suivant nous avons eu une longue discussion avec Jean. L'ordinateur était toujours la chose la plus importante à ses yeux.

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Elle m'assura bien sûr qu'elle n'aimait que moi, qu'il était hors de question qu'elle me fasse une infidélité. Comme j'insistais en lui disant que je ne verrais pas d'inconvénients à ce qu'elle ait une aventure avec un autre, elle mit en doute mon amour pour elle et me répéta qu'elle ne coucherait pas avec un autre que moi. Je dus revenir sur le sujet plusieurs fois pour enfin lui avouer que cela me ferait plaisir. Patrick patoreste @

Puis vint un Noël où les gosses avaient attaché des chocolats sur les murs en grimpant sur une chaise. En revenant à nouveau comme chaque jour de mon travail, j'ai vu que Jilia avait approché une chaise du mur et mangé tous les chocolats. Le vétérinaire m'a donné un traitement, mais rien n'y a fait. C'est ce qui l'a perdue! En un rien de temps, elle a développé un cancer du foie. J'ai eu des chiens avant Jilia et aussi après, mais jamais avec une intelligence pareille, jamais aussi attachants, aussi attentifs à mes désirs de tendresse. Elle venait doucement, quand j'étais triste, grimper sur mes genoux en sifflant (quelquefois en chantant sa douce mélopée de loup) pour poser sa grosse tête dans mon cou et glisser son museau sous mes cheveux! J'ai dormi par terre avec elle, sur son coussin, pendant près d'une semaine, car elle avait très mal. Même son traitement lui faisait mal. Puis je l'ai emmenée chez le vétérinaire pour la faire euthanasier, car on ne pouvait plus rien faire pour elle.

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Il m'a aussi dit que je lui manquait beaucoup, et qu'il avait commis des erreurs. Cependant, ensuite nous ne nous sommes pas revus pendant deux mois. J'ai souvent repensé à notre amour et je me suis demandée comment nous sommes arrivés jusque là. J'avais été infidèle, et j'avais détruit toute notre relation. Nous nous sommes aperçus tous les deux que nous avions perdu beaucoup de choses et nous nous sommes revus pour une dernière explication. Nous avions la sensation d'appartenir l'un à l'autre et c'est pour cela qu'on a décidé de tout recommencer. C'est difficile, très difficile, nous devons faire beaucoup d'efforts tous les deux, mais notre amour a gagné. Pendant le week-end nous faisons à nouveau des choses à deux. Par exemple du sport. Jean est devenu très jaloux, mais je le comprends. Après tout, c'est de ma faute si nous en sommes arrivés à ce point. Nous croyons tous les deux à un avenir ensemble. Même si ça a été un moment difficile, cela nous a changé, et en mieux.

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C'est donc quasi saoul qu'il est parti dans la chambre avec Marie-Claude, à qui déjà tout cela ne plaisait pas et chez qui l'attitude de Serge avait soulevé un certain dégout. Bien sûr Serge ne parvint pas à ses fins et se contenta de caresser le corps de Marie-Claude. Bien sûr cela m'avait quand même excité mais j'aurais aimé que les choses se passent différemment, en fait que Serge ne boive pas. Par la suite un peu inquiet de mes fantasmes et comme je l'avais planifié auparavant, je quittais Marie-Claude. Malgré tout je sentais bien qu'un sentiment me liait à elle et bien que je sorte à l'époque dans les bals etc et que je fasse de nouvelles conquêtes, régulièrement je revenais vers Marie-Claude et nous passions des moments agréables. Le fruit de ceux-ci fût qu'elle s'est trouvée enceinte. N'ayant aucune envie de m'attacher à l'époque et en bon salaud je laissais tomber définitivement Marie-Claude alors que j'étais encore à l'armée. Je venais à peine de reprendre la vie civile lorsque Marie-Claude me fit savoir qu'elle venait d'accoucher d'une petite fille.

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Je trouvais l'idée excellente d'autant que j'étais déjà persuadé que Serge ne parviendrait pas à ses fins mais se contenterait de caresser Marie-Claude. Malgré tout je ne voulais pas que cela aille trop loin. Je trouvais aussi cette idée rassurante pour mon état mental mais en réalité c'était bien une manifestation de mon fantasme qui se développait un peu plus. Restait à convaincre Marie-Claude de se prêter à cela. Avec beaucoup de persuasion et une bonne dose de cynisme, j'ai réussi finalement à convaincre Marie-Claude (qui était un peu prête à faire n'importe quoi pour moi) à bien vouloir se laisser faire par Serge. Le jour dit nous nous sommes tous trois retrouvés dans l'appartement où nous avons commencé comme précédemment par un strip poker afin que Marie-Claude se retrouve une fois de plus nue face à mon cousin mais cette fois elle allait être touchée et cela m'excitait beaucoup. Toutefois il y eut un bémol à cette réalisation, Serge pour se donner du courage avait bu plus que de raison.

Le monsieur grincheux me propose de la prendre: il me la laisse pour deux cent francs (à l'époque). J'ai un coup de cœur, un coup de foudre pour ce petit bout de chienne. Sans réfléchir, je dis "oui". Je l'embarque à la maison, la colle dans les bras de Claire, ressors avec un chèque. L'homme me délivre un certificat de vétérinaire en bonne et due forme avec un genre de certificat de naissance: « berger allemand poil long croisé X » puis il s'en va. – Jilia, tu t'appelleras. Claire me dit qu'elle est trop mimi mais très maigre, avec de la diarrhée, des puces et des vers. Elle espère qu'elle vivra. Je regarde ses dents: c'est un bébé d'à peine un mois! Confirmation auprès de mon vétérinaire, qui me dit qu'elle a déjà eu une primo-vaccination toute petite qu'elle est et qu'elle m'a choisie et sera mon amie. Le vétérinaire téléphone au vétérinaire de l'élevage et celui-ci nous raconte une histoire abracadabrante! Ma Jilia est la fille d'une femelle berger allemand poil long dos droit qui s'était échappée de l'élevage.

Lorsque je ramenais l'appareil à mon patron il se doutait bien de l'usage que j'en avais fait et m'a demandé plusieurs fois de me montrer ces photos ce que j'ai refusé. Il n'a plus insisté. Il est vrai qu'à ce moment là, en fait j'aurais aimé qu'il insiste, car secrètement j'avais une nouvelle fois envie de dévoiler Marie-Claude nue à un autre homme par photo interposée. Mais je ne pouvais pas quand même lui montrer comme ça à la première demande, malheureusement il ne me l'a plus jamais demandé. Toutefois comme désormais ce désir de montrer à quelqu'un ces photos m'avait envahi je résolus de les montrer au jeune homme qui travaillait avec moi à la serre, le beau-frère du patron. J'ai pu amener la conversation sur ce genre de photo, puis lui révéler que j'en avais fait de ma femme et enfin de lui proposer de les lui montrer, ce que bien sûr il accepta. Je me souviens de l'excitation que me procurait le fait de montrer ces photos de Marie-Claude nue. Cela m'avait d'ailleurs tellement plu, que plusieurs fois j'ai renouvelé cette présentation.

Mon fantasme était donc bien revenu et ce malgré que Marie-Claude soit devenue mon épouse. J'avais toujours envie de l'exhiber, mais aussi, me remémorant le plaisir que j'avais eu à ce qu'elle soit caressée par mon cousin, j'avais aussi envie qu'elle soit caressée par un autre. Je ne voulais pas que cela aille plus loin, simplement quelques caresses. Je me demandais ce que j'avais à désirer cela et je le mettais sur le compte à nouveau d'une certaine fierté à vouloir exhiber celle que je possédais et à la laisser être touchée, un peu comme on laisse tâter la marchandise. J'en étais arrivé à fantasmer sur des situations très particulières, par exemple en repensant à l'époque où nous allions faire l'amour dans la nature, j'aurais aimé qu'un jour nous soyons surpris par deux ou trois hommes qui se seraient emparés de nos vêtements et qui auraient exigé pour nous les rendre de se livrer à des caresses sur Marie-Claude, profitant de ce qu'elle était complètement nue. Ayant entre temps passé avec succès le concours pour entrer dans la Police je suis parti à l'école des Gardiens de la Paix, puis j'ai été affecté, comme il était alors d'usage dans une C. R. S.

Maîtresse était chaussée de mi bottes de cuir fin, portait une élégante robe grenat laissant deviner des formes harmonieuses et féminines et Son visage à l'ovale parfait rehaussé par un maquillage léger et encadré de longs cheveux bruns arborait un sourire plein de sérénité mais également d'autorité. Elle était – et est – l'exemple même de La Femme Supérieure née pour dominer le sexe masculin, le dresser et lui imposer Sa volonté et Ses caprices. Je baisai avec respect la main qui m'était tendue et attendis ses ordres tête baissée. – Entrez, Pierre, et déshabillez vous entièrement. Je m'exécutai puis à Son commandement avançai à quatre pattes vers le canapé où Elle s'était assise, embrassai avec dévotion ses sublimes mi bottes puis redressai mon buste pour me trouver à genoux devant Elle, si proche mais en même temps si inférieur, déjà totalement subjugué par tant de beauté et d'autorité. – C'est vrai que vos tétons sont très développés, ils ont toujours été comme cela? Non Maîtresse, cela s'est fait au cours des années, ce sont Vos jouets à présent.
Sat, 10 Sep 2022 19:24:15 +0000