Le filtrage internet, ou blocage DNS, est une méthode utilisée par les filtres Internet commerciaux pour empêcher les internautes de visiter des sites malveillants. Il fonctionne en comparant les adresses IP à celles attribuées à des sites web connus pour héberger des menaces véhiculées par Internet – telles que les malwares et les ransomwares – et arrête les dispositifs qui s'y connectent lorsqu'une correspondance est trouvée. Le blocage DNS est basé sur des comparaisons entre adresses IP. Au lieu d'utiliser des noms de domaine alphanumériques, le processus est rapide et, dans la plupart des cas, imperceptible. Par conséquent, les entreprises utilisant un filtre Internet avec filtrage internet pour contrôler l'accès au contenu en ligne ne doivent pas compromettre l'efficacité de leur sécurité informatique. Avantage secondaire du filtrage internet et du blocage DNS L'avantage secondaire du blocage DNS est que les comparaisons avec les politiques d'utilisation acceptables sont tout aussi rapides.
Aujourd'hui, mettre en place un outil de filtrage de contenus et loguer l'utilisation d'Internet des utilisateurs est un devoir pour chaque établissement. les obligations légales du filtrage web En France, il existe un certain nombre d'obligations légales en matière de filtrage Internet et de log. A l'heure où les cas de jurisprudence se multiplient en matière d'Internet au bureau, le devoir de filtrer, de loguer ou encore de mettre en œuvre des chartes n'est plus à démontrer que ce soit sur le plan légal, jurisprudentiel ou encore dans les bonnes pratiques et les usages. Aujourd'hui, de nombreux textes de loi imposent ou légitiment le filtrage et la conservation des logs et exposent l'entreprise à un certains nombres de risques si elles ne sont pas respectées. LE NON RESPECT DE CES OBLIGATIONS FAIT COURIR À L'ENTREPRISE DIFFÉRENTS RISQUES: LE RISQUE DE NE PAS RESPECTER L'OBLIGATION LÉGALE: L'obligation de mettre en place des filtres et de conserver pendant un an les données de connexion, imposée aux fournisseurs d'accès Internet (FAI) par l'article 6 de la loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN) a été étendue à tous ceux qui offrent un accès à l'internet selon la loi antiterroriste du 23 janvier 2006.